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Lundi 11 juillet : demandez le programme !

- 11 juillet 2016 - Par Benjo DiMeo

10h (19h en France) : Multiplex Poker en direct des WSOP !

Comme chaque jour, ce sont deux belles et bonnes heures de radio qui vous attendent entre 19 et 21 heures, diffusées en direct de Las Vegas, au coeur des Championnats du Monde. Vos animateurs préférés reçoivent les Français des WSOP, vous font gagner des tickets en direct, discutent des dernières news fraîches et rumeurs non vérifiées, et vous font partir à Vegas ! Avouez que cela fait quand même un paquet de raisons de lancer le client Winamax en début de soirée, ou de lancer cette page, où l'émission se lancera automatiquement à 19 heures.
 

11h : Main Event - NLHE 10 000$ (Day 1C)

La troisième journée de départ du Main sera de loin la plus populaire. Au vu des chiffres du Day 1A (764 joueurs) et du Day 1B (1733), similaires à ceux des éditions précédentes du plus gros tournoi du monde, il est facile d'estimer le nombre de joueurs attendus au Rio lundi : 3500 au bas mot, largement de quoi remplir les trois salles de poker que constituent les WSOP, et pourquoi pas forcer des joueurs à débuter leur Day 1C dans le couloir, autour de tables montées en catastrophe. Cela s'est déjà vu. Au milieu de ce merdier, la tâche des reporters Français sera rendue encore plus compliquée par le bousculement provoqué par l'Euro : tous ceux qui ont décalé leur entrée pour regarder la finale seront au départ du Day 1C ! En conséquence, il se pourrait bien que le nombre de Tricolores à suivre aujourd'hui dépasse les soixante... Nous retrouvons au départ l'ensemble des jouers du Team Winamax qui n'avaient pas participé au Day 1A (Pierre Calamusa, les Top Sharks, Kool Shen Patrick Bruel, Davidi Kitai, Sylvain Loosli, Aurélie Quélain), l'équipe gagnante du KING5, et des dizaines d'autres représentants Français.


 

Full house !

- 11 juillet 2016 - Par Benjo DiMeo

Autant être honêtes avec vous : c'est avec anxiété que nous abordons cette journée, probablement la plus chargée de l'été aux World Series of Poker. En effet, après deux Day 1 plutôt calmes, ce sont plus de 3500 joueurs qui sont attendus au centre de convention du Rio pour la troisième et dernière journée de départ du Main Event, dont un contingent Français massif comprenant huit joueurs du Team Winamax, une pelletée de qualifiés dont les gagnants du KING5 2016, et grosso modo tous les Tricolores qui nous n'avons pas encore croisés autour des tables du Main Event ces deux derniers jours. Les douze heures à venir s'annoncent sportives, mais nous ferons de notre mieux pour vous donner un maximum d'infos sur l'entrée en matière du clan Tricolore. Coups fumants, anecdotes débiles, statistiques futiles, photos à gogo : c'est parti pour une avalanche de news constante à raison d'un article par heure.  Let's go !

Main Event : la structure du Day 1

Tapis de départ : 50 000 (contre 30 000 l’an passé)
Durée des niveau : 120 minutes

Coup d’envoi : 11 heures (20h en France)

Progression des blindes
75/150
150/300
150/300, ante 25
200/400, ante 50
250/500, ante 75

Les survivants savoureront une pause de vingt minutes entre chaque niveau, ainsi qu'une pause-dîner de 90 minutes après le troisième niveau, vers 18h. Fin de journée prévue aux alentours de 23h30.

Main Event : le programme

Samedi 9 juillet : Day 1A
Dimanche 10 juillet : Day 1B
Lundi 11 juillet : Day 1C
Mardi 12 juillet : Day 2A et Day 2B
Mercredi 13 juillet : Day 2C
Jeudi 14 juillet : Day 3 (rassemblement des fields)
Vendredi 15 juillet : Day 4
Samedi 16 juillet : Day 5
Dimanche 17 juillet : Day 6
Lundi 18 juillet : Day 7 (jusqu'à la finale)

Level 1, il est là le rêve Américain

- 11 juillet 2016 - Par Benjo DiMeo

Blindes 75/150

Les trois conseils du Champion du Monde en titre

1/ Annoncez vos mises, et avancez les sur le tapis. Il faut faciliter le travail des croupiers : ils ont bossé dur tout l'été.
2/ N'attendez pas trop longtemps pour prendre vos décisions. Si quelqu'un à votre table joue trop lentement de manière répétée, n'hésitez pas à demander le temps.
3/ C'est un tournoi unique dans l'année : profitez-en ! Et surtout : amusez-vous !

Ainsi parle Joseph McKeehen, dont on serai avisé d'écouter les sages paroles : après tout, il est le dernier joueur en date à avoir été jusqu'au bout du plus gros et du plus beau tournoi du monde.

Non non, cet amas de pierres précieuses tout en sobriété n'est pas d'une plaque d'immatriculation balla, mais bien le bracelet que recevra le Champion du Monde 2016. Il me semble gigantesque, mais on m'assure que sa taille n'a pas changé par rapport à l'édition précédente.


Première étape obligatoire après que McKeehen ait prononcé les mots magiques "Shuffle up and deal" : faire le tour du propriétaire. Bien entendu, le listing qui va suivre ne représente qu'un aperçu très partiel des forces en présence aujourd'hui : au moment du coup d'envoi, la majorité des tables n'étaient occupées que par quatre, cinq ou six joueurs. Disons que l'exercice est surtout utile pour identifier les joueurs les plus ponctuels. Quoi qu'il en soit, vu l'affluence massive en ce Day 1C, ce tour de table sera découpé en plusieurs parties. On y va.

Brasilia Room : 92 tables

Zone Bleue (19 tables)

L'ancien finaliste du Main Event Dennis Philips a été aperçu dans la zone Bleue, de même que Phil Ivey, pour son tout premier tournoi des WSOP 2016. Les habitués seront ravis d'apprendre que ses supporters numéro 1, les époux Humphrey, étaient sur le pont dès le coup d'envoi.

Zone Silver (25 tables)

Le Champion du Monde 1996 Huck Seed a entamé son Day 1C sans la zone "argent", de même que le jovial champion EPT Andreas Hoivold (Dortmund 2007, cela ne nous rajeunit pas) et Valentin Messina.

Zone Bronze (20 tables)

William Wachter‏ avait fait sensation en 2015 en atteignant les places payées du Main Event à l'âge de 94 ans. Cette année encore, il devrait être le joueur le plus âgé du field. Nos respects à ce vétéran de la Seconde Guerre Mondiale.

Dans cette zone, nous avons aussi croisé Chris Moorman et Isaac Haxton (assis face à face) et Mike Leah.

Zone Rouge (28 tables)

Ilan Boujenah fait partie des joueurs qui étaient fermement décidés à entamer leur Main Event à l'heure. "Quand tu vois les coups de Gaëlle dans le coverage du Day 1A, tu te dis qu'il ne vaut mieux pas manquer les spots de début de tournoi. C'est vraiment la seule épreuve où je n'ai aucune envie de louper une seule main." Ilan débute son Day 1C en compagnie de deux stars quelque peu rares sur le circuit ces derniers temps : la Franco-Américaine Vanessa Rousso et le Costa-Ricain Humberto Brenes.

Florian Decamps dispute son premier Main Event au sein du Team Winamax, et formule une première silencieuse : "Dieu des bad-beats, épargnez moi..."

Comme un seul homme, tous les membres de l'équipe gagnante du KING5 ("les frères pétard") sont réunis dans la Brasilia. Ici, Denis Savoy.

Amazon Room : 120 tables

Pour la première fois depuis le début de ce Main Event, l’Amazon Room ne sera pas aujourd’hui la salle qui concentrera le plus de tables, même si, au vu de la quantité de têtes d’affiches croisées, elle ne manquera certainement pas d’action.

Zone Gold (15 tables)

Notre position depuis le banc de presse nous permettra de suivre presque en temps réel le déroulé de la journée du November Nine 2015 Federico Butteroni, l’Italien étant assis littéralement à quelques mètres en face de nous. Non loin de là, le légendaire Erik Seidel a également pris place dès 11 heures, rapidement rejoint par Martin Jacobson. Situés juste à côté de la sortie, ils pourront qui plus est partir en pause avant tout le monde. Vous avez dit privilégiés ? Entre les deux, notre confrère Victor Saumont alias Tapis_Volant a débuté son proverbial « tournoi d’une vie » après avoir gagné sa place sur un satellite live à 565 dollars. « Je ne reconnais personne à ma table, » m’a-t-il glissé. Mieux vaut cela que de se retrouver à côté de Fedor Holz ou Jason Mercier.

Zone Orange (42 tables)

Puisque l’on parle du loup, le double vainqueur de cet été est lui aussi au rendez-vous ce matin, entouré notamment par la Chinoise Celina Lin, l’Australien Martin Kozlov et le Britannique Simon Deadman. Exilé sur la table située juste dans le coin de la salle, notre qualifié online François Pirault est également de la partie. « Je me suis blessé hier au foot, » m’explique t-il, en me montrant son attelle à la cheville celui qui a remporté la World Cup of Vegas en compagnie d’une poignée d’autre Français comme Guillaume Diaz, Florian Decamps, Adrien Allain ou Ivan Deyra. La victoire était visiblement à ce prix.

Zone Violette (40 tables)

Ce quart de l’Amazon Room est pour l’instant estampillé coin du Team Winamax. On y retrouve notamment Aurélie Quélain, qui dispute là son tout premier Main Event, le susnommé Guillaume Diaz, et Sylvain Loosli. Ce dernier partage sa table avec le runner-up de l’EPT Malte Alen Bilic. « La table était plus sympa avant qu’il arrive, » lâche le November Nine 2013, qui n’est cela dit pas du genre à être impressionné pour si peu. Également aperçus autour d’eux : la superstar et 11e du dernier Main Event Daniel Negreanu ainsi que le multiple finaliste EPT Frederik Jensen.

Zone Tan (23 tables)

Peu de tables mais finalement une assez bonne concentration de Français ici avec Timothée Marlin, que j’ai déjà vu gratter un pot contre le sosie de merde l’Agent Smith, un autre Champion du Monde de Vegas de foot Jean-Marie Peyron et un certain Manuel Bevand. Oui, Manub est de retour au Main Event après avoir sauté l'édition 2015 !


Anecdotes, statistiques et citations à la con

2 : sur 10, la note que nous attribuons au mini-spectacle proposé en introduction au Day 1C. Deux chanteurs massacrant des standards high-rock pour faire la promo d'un spectacle actuellement en résidence au Rio. Plutôt me planter des fourchettes dans les oreilles en avalant des éponges que d'entendre cela.

Certains ne sont pas si préssés de commencer leur tournoi, préférant badiner en direct de la radio Winamax : n'est-ce pas Kool Shen ?

Certains ne reculent devant rien pour tenter d'en imposer à leurs adversaires.

 0% : le pourcentage de joueurs enrhumés demandant la permission avant de se servir dans la boîte de Kleenex posée à côté de Flegmatic.

 "Ha bon, Phil Ivey est broke ? Mouais, j'aimerais bien être broke comme lui : le mec est déjà en train de se faire masser, et ça devrait durer toute la journée." - Signé : un reporter Winamax incrédule lorsqu'on lui rapporte les dernières nouvelles de la planète high-stakes.

Fedor : conquistador !

- 11 juillet 2016 - Par Veunstyle72

Après Antonio Esfandiari, Daniel Colman et Jonathan Duhamel, c’est donc Fedor Holz qui a ajouté dimanche soir son nom à la liste des vainqueurs du tournoi One Drop, empochant dans le même temps près de cinq millions de dollars. Un événement pour le jeune allemand, qui concrétise un été tout simplement hallucinant, l’ayant vu remporté quatre tournois en l’espace d’un mois, pour plus de dix millions de dollars de gains : « Je n’ai pas vraiment de mots. Simplement, j’avais un gros feeling pour ce tournoi », confiait-il durant la conférence de presse après sa victoire sur ce One Drop, « je réalise que mon run est indécent, je vous rassure, et j’essaie juste de profiter de chaque instant. »

L’expression « Run comme Jesus » a depuis quelques temps été adaptée en « Run comme Fedor ». Il y a de la jalousie dans cette expression remasterisée, mais aussi un peu de réalisme. Ce joueur ne semble pas connaître la variance, où du moins il la domine parfaitement : « Les gens m’ont vu faire des choses folles dans le passé, sur des streamings, des coverages, donc forcément, je me fais call light assez souvent. »  Mixer son jeu, être en bluff, avoir le jeu max, et dans les deux cas, toujours mettre une pression permanente à ses adversaires, c’est le style Fedor Holz : « Pour éliminer trois joueurs sur trois mains consécutives, [Il s'est débarrassé de McKeehen 6e, Brian Green, 5e et Jack Salter 4e)]je dois bien reconnaître qu’il faut être chanceux. Mais hormis ça, tout le tournoi j’ai plutôt joué de façon serré en fait, j’ai remporté les flips qu’il fallait remporter et j’ai surtout beaucoup grind. Mais ça forcément, les gens le retiennent moins. »

En très peu de temps, Fedor Holz est passé de jeune espoir Allemand du poker a superstar propulsée au rang des meilleurs. Sa place de numéro mondial au GPI, il ne l’a d’ailleurs volé à personne. « C’est vrai qu’en quelques années, j’ai très vite progressé. Je dois beaucoup aux joueurs qui fréquentent les High rollers avec moi, je les observe tous et je tire un maximum d’informations de chacun d'eux pour m’en servir. Je dirais que Mike « Timex » Macdonald a été une très bonne source d’inspiration, peut-être la meilleure. Aujourd’hui, être numéro 1 mondial est immense honneur, et c’est aussi pour ça que j’ai enchainé tous ces tournois. »

L’été n’est pas encore terminé pour Fedor, qui se verrait bien réaliser un nouveau gros deeprun sur le Main Event, comme l’an passé (25e/6420), et après ça, promis, il coupe un peu avec les cartes: « Il va être temps que je fasse un break bien mérité après ces WSOP. » On parie qu’on le reverra dès l’EPT Barcelone fin aout pour aller décrocher un nouveau Super High Roller ? 

10 millions de dollars de gains en... six semaines à peine !

Level 1, allez viens, on est plein, plein plein

- 11 juillet 2016 - Par Flegmatic

Blindes 75/150

Notre deuxième tour du propriétaire (centré exclusivement sur la Pavilion, salle ô combien impressionannte, de loin la plus grande salle de poker du monde, durant les WSOP, et en particulier aujourd'hui) nous a permis de croiser beaucoup plus de joueurs : forcément, des tas de joueurs se sont pointés durant la première heure. Il y a encore pas mal de queue au bureau des inscriptions, et les derniers satellites tournent dans la Pavilion. Nous n'en sommes pas encore arrivés au stade (désespéré) des satellites "flash" à mille balles joués en une seule main, mais ce moment viendra bien assez tôt. Durant l'heure qui vient, nous allons repasser au peigne fin les salles Brasilia et Amazon afin de repérer de nouveaux Français.

Pavilion Room : 231 tables (!)

Zone Blanche (54 tables)

Ce quart de la plus grande salle des World Series of Poker rassemble nombre de joueuses de renom du circuit pro : j’y ai croisé l’ancêtre Kathy Liebert, Ally Shulman (la femme de Barry, le patron du magazine Card Player et vainqueur des WSOP-E en 2009), Kitty Kuo, Loni Harwood (photo, 2 bracelets), la toujours souriante Cindy Violette, le mannequin Lacey Jones, et Ness Kourdourli, auteur d’un beau deep-run l’an passé (244e).

Dans cette section, j’ai aussi croisé le Bréslien Felipe Ramos, Robert Mizrachi, l’ancienne gloire Erik Lindgren (qui joue sa vie sur ce genre de tournois, puisqu’il doit plusieurs millions dollars au FISC, à PokerStars, et à des tas de joueurs suite à des paris sportifs mal avisés), et un seul Français (jusqu’à présent) : Giuseppe Zarbo, qualifié suite à un satellite. « Il s’annonce bien, ce Main Event en freeroll ! » a rigolé le Franco-Italien hier soir.

Zone Verte (64 tables)

Au moins deux Champions du Monde sont installés dans cette vaste zone d’ordinaire reservée au cash-game (seule une dizaine de parties subsistent à l’heure actuelle) : Jamie Gold (2006) et Jonathan Duhamel (2010). Deux pros du Team Winamax s’y trouvent aussi : Kool Shen et Pierre Calamusa, assis à des tables adjacentes tout au fond de la salle. Très rare en tournoi, Rui Cao a délaissé ses énormes partie de CG en Asie pour disputer le « Big One ». Mike McDonald et Olivier Busquet ont aussi été aperçus dans cette section.

Zone Noire (45 tables)

Passé sous nos radars au moment de notre ratissage dans ce coin de la salle, l’ancien membre émérite du Team Winamax Arnaud Mattern est venu se manifester à notre banc de presse pendant la pause. « Table 183, pavillon noir, Winter is Coming, » nous a-t-il révélé. Photo à venir au prochain épisode.

Bon nombre de têtes de séries ont été dispatchés ici, à commencer par les trois vainqueurs de bracelet 2016 Andrew Lichtenberger, Adrien Mateos et Kristen Bicknell. Celle qui a été conquise quelques mois plus tôt par les tables de 6-Max du SISMIX – et qui a promis de venir faire un tour à Dublin pour le WPO – Leo Margets (photo) est également venue se joindre à la fête, tout comme Barry Greenstein, George Danzer et Ludovic Geilich.

Zone Jaune (68 tables)

Beaucoup de tables et donc forcément beaucoup de monde dans cette contrée lointaine, très lointaine du Rio – tout simplement la plus éloignée du banc de presse situé dans l’Amazon. Quatre petits Frenchies sont apparus sous nos yeux : Maxime Chillaud, Erwann Pécheux ainsi qu'Émile Petit (photo) et Jean Montury, tous deux réunis à la même table.

Ryan Riess a de son côté rejoint le clan des Champions du Monde inscrits sur ce Main Event tandis que Tony Dunst représente celui des gagnants de cette année. La Suédoise Sofia Lovgren (photo), le Britannique Max Silver et l’Allemand Ole Schemion complètent ce tableau non exhaustif, mais déjà bien rempli, vous en conviendrez.

Les couvreurs Winamax, revenant sur le banc de presse après un tour complet de la Pavilion Room.

Anecdotes, statistiques, et citations à la con

La mode des déguisements semble être presque complètement passée. Pas sûr qu'on le regrette, au final.

"On sent qu'on approche de la fin des WSOP, 1e fois que je vois un croupier s'endormir au milieu d'une main. Sa journée va être longue" - Signé : un Sylvain Loosli médusé, et légèrement inquiet pour les petites mains des WSOP.

 Les chiffres provisoires du Day 1C :

120 tables dans l'Amazon Room
92 tables dans la Brasilia
231 dans la Pavilion

Ce qui représente un total de 443 tables pour le moment, avec un maximum de neuf joueurs par table. Il y a donc de la place pour 3987 joueurs (dans la moyenne des années précédentes), mais les organisateurs pourront bien sûr, en cas de nombreuses arrivées en retard, placer des joueurs au siège 10, ou ouvrir de nouvelles tables. Quoi qu'il en soit, on s'achemine vers une affluence totale similaire aux récentes éditions du Main Event, avec un total d'inscrit tournant autour de 6500.