Winamax

Le programme

- 2 septembre 2010 - Par No Soucy

Jeudi 2 septembre, 13 heures : Day 1A
Vendredi 3 septembre, 13h : Day 1B
Samedi 4 septembre, 13h : Day 2
Dimanche 5 septembre, 13h : Day 3
Lundi 6 septembre, 13h : Day 4
Mardi 7 septembre, 13h : Day 5
(finale en novembre)

Reportage par Benjo, Harper, Mrik02, et Junior

Fête des pères

- 2 septembre 2010 - Par Benjo DiMeo

C'est la rentrée des Papas

Coverage par Winamax

Après quelques petite excursions estivales en Espagne, en Estonie et au Portgual, le Team Winamax fait sa vraie rentrée sur le circuit à Cannes, pour la troisième édition du Partouche Poker Tour. Impossible en effet de manquer cette épreuve qui, avec son prize-pool garanti de 3 millions d'euros, s'est imposée comme incontournable dans le paysage pokérien européen, en seulement trois ans d'existence.

Ce ne seront pas moins de onze joueurs siglés W qui seront au rendez-vous cette semaine : ils seront accompagnés de tout ce que l'hexagone compte de bons et de mauvais joueurs, une tripotée de stars américaines pour lesquelles on déroulera le tapis rouge, et un sérieux contingent d'européens affutés, alléchés à l'idée de disputer un tournoi peuplé de dizaines de joueurs tricolores qualifiés lors de satellites miam. Pour résumer, les Jon Randomson se lèchent les babines !

Qui succèdera à Alain Roy et Jean-Paul Pasqualini, les vainqueurs des deux premières éditions ? On sera bien en peine de vous le révéler cette semaine puisque, à l'instar de ce qui se fait aux World Series of Poker, la table finale (retransmise en direct dans toute l'Europe sur Eurosport) ne sera pas jouée avant novembre.

Par contre, nous pouvons sans trop de risque de se tromper vous promettre un tournoi riche en rebondissements, fous rires, coups fumants et explosions de toutes sortes. Hé oui, avec son field mélangeant comme nulle part ailleurs amateurs français de toutes sortes et pros aguérris du monde entier, le PPT est un tournoi à l'ambiance particulière, électrique, parfois agitée. Si vous nous avez suivi lors de l'édition 2009, vous voyez de quoi je parle... Dans le cas contraire, préparez vous à une semaine de toute beauté, petits veinards.

Pour terminer cette introduction, je n'aurai qu'un seul mot d'ordre : Allez papa !

Benjo

Quelqu'un a fait le café ?

- 2 septembre 2010 - Par Benjo DiMeo

Une structure deep, une journée qui n'en finira pas

Coverage par Winamax

C'est un Day 1 marathon que nous ont concocté les organisateurs du Partouche Poker Tour : huit niveaux de 90 minutes, entrecoupés de pauses d'un quart d'heure.

Faites le calcul : avec un départ programmé à treize heures, nous ne quitterons pas le casino avant 3 heures 45 du matin, grand minimum !

Level 1 : 25/50
Level 2 : 50/100
Level 3 : 100/200
Level 4 : 150/300
Level 5 : 150/300, ante 25
Level 6 : 200/400, ante 25
Level 7 : 300/600, ante 50
Level 8 : 400/800, ante 75

Concernant la progression des blindes en elle-même, nous avons donc affaire à une structure très profonde, avec 30,000 de tapis de départ, et 600 blindes pour commencer la partie. Est-ce bien raisonnable ? Non, répond Antony Lellouche : « C'est parfait pour installer une image à moindre prix », explique le joueur du Team. Cependant, un examen plus attentif de la structure révèlera quelques carences : où sont les niveaux 75/150 et 250/500 ? De là à qualifier ce tournoi de crapshoot, il n'y a qu'un pas que je me garderai bien de franchir. Non, soyez-en surs : c'est une épreuve interminable qui s'apprête à débuter, qui récompensera les joueurs les plus talentueux et, j'ai envie de dire, les plus patients, car il n'y a vraiment pas le feu. Ce qui n'empêchera pas la première élimination de survenir au cours des trente premières minutes. Moi, mauvaise langue ? Peut-être.

La pause-dîner durera 75 minutes et interviendra après le quatrième niveau. Et comment on fait quand est déjà affamé ? Il me semble que le bar mette à disposition des joueurs snacks et sandwiches.

Aussitôt arrivé, aussitôt parti

- 2 septembre 2010 - Par Benjo DiMeo

Coverage par Winamax

Voilà, comme je l'avais perfidement annoncé au cours de l'article précédent, la première élimination ne s'est pas faite attendre. Quinze minutes après le coup d'envoi (donné un poil à la bourre), un joueur se levait déjà pour se diriger vers la sortie.

Contre toute attente, il ne s'agissait pas d'un joueur français. Mon confrère Aymerick a cru entendre un accent allemand, ou autrichien. Ce malheureux faisait face à Gilles Layani, et a cru bon d'engager ses 600 blindes avec deux Rois sur un turn 8-5-2-7 (pas de tirage couleur possible). Son adversaire français l'a payé avec le brelan max, rien que ça, et c'est ainsi que 319 joueurs pouvaient souffler : quoi qu'ils arrivent, ils échapperaient à l'humiliation d'être le premier sortant.

Ils sont venus, ils sont tous là

- 2 septembre 2010 - Par Benjo DiMeo

Coverage par Winamax

Les organisateurs ont clôturé les inscriptions au Day 1A une fois atteint le chiffre de 320 joueurs. Ceci par souci d'équilibrer les deux journées de départ. Ainsi, tous les participants du jour sont réunis dans la salle principale du casino Palm Beach. La salle annexe, réservée aux tournois... annexes, est pour le moment inoccupée. Quoi qu'il arrive, le record de 522 participants établi en 2009 devrait être battu sans peine.

Il serait fastidieux (et probablement indigeste) de vous citer l'intégralité des joueurs que nous avons reconnus autour des tables du Day 1A. Il y a les scandinaves, de plus en plus nombreux chaque année : Ramzi Jelassi (grand habitué des tournois français), Michael Tureniec (finaliste il y a un an), Juha Helppi, Soren Kongsgaard, Rasmus Nielsen, et d'autres. Il y a les stars américaines, comme Mike Matusow, Erik Seidel, Men « The Master » Nguyen (nous en sommes déjà à deux cartes marquées repérées en seulement une heure de jeu), David Williams. Il y a l'ami du Team Winamax Samuel Chartier (Québec), le vainqueur du dernier EPT de Monte Carlo Nicolas Chouity (Liban)... Il y a quelques pointures online, comme Christian Harder, LuckyChewy...

Côté français, il n'y a que l'embarras du choix, avec des joueurs connus et reconnus comme Roger Hairabedian, Bruno Launais, Antoine Saout... Il y a les Mercedes Osti, François Tardieu, Adrien Allain, Stéphane Albertini...

Et puis, bien sur, il y a le Team Winamax, représenté par quatre compétiteurs, j'ai nommé Vikash Dhorasso, Manuel Bevand, Ludovic Lacay, et Antony Lellouche.