Winamax

299 joueurs au départ du Day 2 (au moins)

- 4 mai 2015 - Par Benjo DiMeo

A ces 299 joueurs, il faudra ajouter une poignée d'ultimes retardataires, tels les finalistes du High Roller Turbo à 50 000€, qui s'est terminé tard dans la nuit de dimanche à lundi (vainqueur : Mustapha Kanit, pour presque un million d'euros)

Top 10

Jose Carlos Garcia (Pologne) 182 800
Joao Simao (Brésil) 179 100
Nicolas Chouity (Liban) 168 000
Romain Paon (France) 161 900
Roger Hairabedian (France)153 800
Charlie Carrel (UK) 153 000
Eric Sfez (France) 148 600
Samy Salah (France)144 500
Felix Stephensen (Norvège)143 000
Mustapha Kanit (Italie) 138 800


35 Francais

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Romain Paon 161 900
Roger Hairabedian 153 800
Eric Sfez 148 600
Samy Salah 144 500
Alexandre Reard 133 000
Xavier Detournel 88 800
Christophe Benzimra 81 000
Volkan Altuntas 76 600
Pierre Olivier Jandaud 76 300
Jean-Noel Thorel 76 000

Alexandre Amiel 68 000
Fabrice Soulier 67 100
Emrah Cakmak 61 500
Patrick Bruel (Team Winamax) 55 400
Josy Laurent Benhayoun 54 700
Michel Abécassis (Team Winamax) 51 300
Patrick Nakache 50 400
Didier Pitcho 46 500
Philippe Ktorza 40 200
Christophe Malaurie 39 500

Pierre Merlin 39 100
Jonathan Khalifa 37 100
Michael Kolkowicz 36 300
Patrick Sacrispeyre 36 200
Philippe Narboni 35 900
Benjamin Pollak 35 100
Jean Montury 34 000
Mesbah Guerfi 28 700
Kevin Dodelande 27 400

Franck Makaci 21 300
Gaëlle Baumann (Team Winamax) 20 900
Sylvain Loosli (Team Winamax) 13 600
Laurent Strouk 10 900
Frank Kalfon 8 900

Le reste du field (sélection)

Ole Schemion (Allemagne) 121 600
Andre Akkari (Brésil) 114 900
Steve O'Dwyer (Irlande) 109 000
Eugene Katchalov (Ukraine) 95 600
Faraz Jaka (USA) 90 400
Jason Mercier (USA) 74 900
JC Alvarado (Mexique) 72 500
Vanessa Selbst (USA) 66 200
Johnny Loden (Norvège) 65 000
Andrew Chen (Canada) 58 500
Josh Prager (USA) 56 800
Dario Sammartino (Italie) 56 000
Dan Heimiller (USA) 53 200
Mike McDonald (Canada) 49 500
Joao Barbosa (Portugal) 47 000
Randal Flowers (USA) 44 600
Martin Jacobson (Suède) 42 000
Mike Watson (Canada) 39 100
Isaac Haxton (USA) 33 200
Pierre Neuville (Belgique) 32 100
Liv Boeree (UK) 30 000
Dominik Nitsche (Allemagne) 28 000
Kevin MacPhee (USA) 27 100
Yevgeniy Timoshenko (USA) 25 700
Maria Ho (USA) 23 600
Benny Spindler (Allemagne) 23 000
Stephen Chidwick (UK) 22 800
Fabian Quoss (Allemagne) 22 200
Viktor Blom (Suède) 22 000
John Duthie (UK) 19 600
Jason Koon (USA) 7 600

Blindes 400/800, ante 100
 

Day 2 : La main au collet

- 4 mai 2015 - Par Benjo DiMeo



Tout au long des douze heures du Day 1, les cartes ont été battues et rebattues, moult pièces ont été jetées en l'air, nombre de dés ont été lancés, et les jetons sont inlassablement passés de main en main. Fini, le doux rêve égalitaire qui caractèrise le départ d'un tournoi, avec ses tapis de 30,000 et ses rêves de gloire alignés et identiques pour chacun des participants. Place au Day 2 maintenant, où chacun voit l'avenir en fonction de sa situation. Il y a les chip-leaders, pour qui la voie semble toute tracée : ils auront à coeur de continuer à creuser l'écart, tout en évitant à tout prix une catastrophe prématurée, un bad-beat ou un bluff mal ajusté qui leur coûterait en un seul coup des jetons si durement acquis. Il y a les short-stacks, dont l'horizon est pour le moment bouché : pour eux, hors d'un coup à tapis favorable d'entrée de jeu, point de salut, ils n'ont pas grand chose à perdre et tenteront crânement leur chance. Et puis il y a tous ceux, nombreux, qui sont postés au milieu du gué : leur tapis n'est ni énorme ni miniscule, et tout est encore possible pour eux, une montée rapide à la faveur de quelques jolis coups, une dégringolade tout aussi rapide, ou bien, de manière moins excitante, de longues heures de 'grind' patient et appliqué. Les possibilités sont infinies.

Au programme de ce Day 2 : six niveaux de 75 minutes, et des blindes qui vont progresser selon l'échelle suivante :

400/800, ante 100
500/1,000, ante 100
600/1,200, ante 200
800/1,600, ante 200
1,000/2,000, ante 300
1,200/2,400, ante 300

Les 10 fantastiques

- 4 mai 2015 - Par Florence

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Arriver pour le Day 2 d'un EPT, voir le toit de la Salle des Etoiles s'ouvrir, et repartir quelques instants après. Voilà ce qu'a fait le Canadien Daniel Negreanu cet après-midi. C'est déjà terminé pour le Team Pro PS qui a quand même eu le temps d'éliminer le Français [effacé]. 34 000 jetons pour débuter, ce n'était pas suffisant pour [effacé]. Le tricolore est rapidement tombé à moins de 10 000 jetons soit une douzaine de blindes. Après une ouverture du Canadien à 1 800 en milieu de parole, il décide de 3-bet all-in depuis le cut-off. Comme à son habitude, Daniel fait un peu le show, demandant aux autres joueurs de la table s'il doit mathématiquement payer ou pas. Il s'acquitte finalement de la somme et dévoile A5, dominant KJ chez le Français. [effacé] se croit un temps sauvé après un board 8K9Q mais la river A l'envoie dans le rail prématurément en ce début de Day 2.

Ils sont 9 à avoir imité le Team Pro PS en choisissant de s'inscrire au début de cette deuxième journée, portant le nombre total d'inscrits à 564. Parmi eux, le Russe Yury Gulyy (runner-up du FPS High Roller qui s'est terminé hier soir par la victoire du Français David Susigan), Christophe Vogelsang, Max Altergott, troisième du Super High Roller à 100 000 euros, Igor Kurganov, Phil Ivey ou encore Dzmitry Urbanovich.

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Même pas besoin de suivre l'action

Runner-up du SHR, le Polonais avait déjà profité de l'inscription tardive en début de deuxième journée. Une technique qui semble lui réussir puisqu'il a déjà doublé son tapis, éliminant notamment l'Espagnol Pablo Gordillo, quatrième du FPS.

Une entame de match musclée

- 4 mai 2015 - Par Benjo DiMeo

Quelques faits, visages et gestes observés durant la première heure du Day 2…



Alexandre Réard
 (à gauche) a vu son adversaire envoyer son tapis (40,000 environ) sur la rivière d’un tableau 9JKAA. L'action a du être conséquente sur les tours d'enchères précédents : le pot est déjà énorme, coloré par de nombreux jetons bleus (valeur : 5,000 chacun), mais le vainqueur du KING5 n’est pas suffisamment armé pour payer cette dernière mise, et abandonne le coup.

Patrick Sacrispeyre, lui, se tâte un moment avant d’engager ses derniers jetons (25,000) sur un board 8Q4. Il fait face à Johnny Lodden (tirage couleur max A9) et un Allemand répondant au nom d’Alexander Stadler (brelan 44). Le Français est très mal en point avec un tirage inférieur (KJ) et ne trouve aucune aide sur le turn et la rivière. Il est l’un des premiers éliminés du Day 2, tandis que Stadler triple son tapis, laissant Lodden avec très peu de jetons.

C’est avec le sourire que Michel Abécassis engage son tapis sur un turn TJ38 après avoir check/call le c-bet de son voisin de droite (bouton) sur le flop. Ce dernier est couvert, et décide d’abandonner en se laissant 15,000 unités.

Patrick Bruel a entamé le Day 2 assis aux côtés d’un de nos plus illustres joueurs amateurs Français : Jean-Noël Thorel. P14B a remporté un premier pot sympathique peu après l’entame de jeu, engrangent un profit de 20,000.

Dangereux virage en table 28 : Stephen Chidwick (22,8K), l’un de nos chip-leaders Français Eric Sfefz (148,6K) et Fabrice Soulier (67,100)

Un peu de pop corn ?

- 4 mai 2015 - Par Benjo DiMeo



Plus de quarante joueurs sont passés de vie à trépas durant le premier niveau du Day 2.

Dernières sorties Françaises en date : celles de Sylvain Loosli et  Pierre Merlin. Le November Nine du Team Winamax avait entamé le Day 2 avec un petit tapis : ses dernières blindes sont parties avec un Dame-10 assorti qui n'a pas tenu contre 9-8 (assortis aussi). "On va se rattrapper sur les sides et le High Roller !" assure Sylvain sur Twitter. De son côté, le vainqueur du WiPT 2013 a envoyé le tapis au flop avec les As, et a eu la désagréable surprise de voir son adversaire retourner un brelan de Dames floppé.

Autres sortants en ce début de Day 2 :

Viktor Blom
Benny Spindler
Michael Kolkowicz (France)
Liv Boeree
Jake Cody
Fatima Moreira de Melo
Yevgeniy Timoshenko
Joseph Mouawad


Aussi, contrairement à ce que nous avons annoncé plus tôt, Phil Ivey n'a finalement pas participé à cette Grande Finale, se contentant des tournois annexes les plus chers. L'ami Philou était bel et bien en possession d'un ticket ce matin, mais a demandé un remboursement peu avant le coup d'envoi. La faute à une table de cash-game trop juteuse ? Il se murmure que quelques grosses baleines du genre Cyril Mouly sont quotidiennement installées dans la salle privée reservée aux plus grosses parties.