Fin du day 1A
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EPT Prague 2008
La suite, c'est demain
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Rendez-vous mercredi à midi pile pour la suite de notre reportage. Pour la deuxième partie du Day 1, nous observerons la seconde moitié du field s'ébattre joyeusement au Hilton de Prague. Le Team Winamax sera représenté par un joli convoi de fines lames : Antony Lellouche, Nicolas Levi, Davidi Kitai, Manuel Bevand et Vikash Dhorasoo. Parmi les autres français au départ, on gardera un oeil sur des joueurs tels que David Miara, Guillaume Darcourt, Pascal Perrault, David Jaoui et bien d'autres.
From ashes to riches
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Quelle journée pour le récent finaliste de l'EPT Varsovie ! Tombé très rapidement à 3,000, Ludovic Lacay termine finalement cette première journée à Prague en position de large chip-leader, avec 94,000 !!!
Ils reviendront pour le Day 2
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L'espagnol José Luis Navarro, qui a chatté un pot assez énorme avec J9 contre AA sur un flop K-J-X (je crois qu'il a tenté un bluff foireux, bref un coup à l'hispanique, quoi)
Steven Van Zadelhoff et Mads Andersen se sont tellement amusés aujourd'hui qu'ils ont signé pour revenir après-demain. EDIT : Il semblerait que le second ait sauté en toute fin de journée.
Ce joueur français que je ne connais pas (il s'est sauvé avant que j'aie eu le temps de lui demander son nom) a évolué avec Johny toute la journée et s'est constitué un gros tapis. A suivre de près lors du Day 2.
Aussi, on retrouvera des joueurs tels Bernard Boutboul, Johnny Lodden, Soren Kondsgaard, Casey Kastle, et surtout Xavier Laszcz, qui a réussi à remporter un coup de 18,000 avec hauteur 7 - au showdown !!!
Les tapis ont volé sur le flop
3
6
8
Xavier 7
5
Son adversaire 4
5
Turn 8, Rivière A, le kicker du français remporte le pot !
Getting near the end
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Ce joueur français que je ne connais pas (il s'est sauvé avant que j'aie eu le temps de lui demander son nom) a évolué avec Johny toute la journée et s'est constitué un gros tapis. A suivre de près lors du Day 2.
Comme d'habitude en fin de journée, les médias ont été jetés dehors par les superviseurs, histoire que les 88 joueurs restants puissent disputer tranquillement la dizaine de mains qu'il reste à jouer.
Comme d'habitude en fin de journée, les médias ont été jetés dehors par les superviseurs, histoire que les 88 joueurs restants puissent disputer tranquillement la dizaine de mains qu'il reste à jouer.
