Quatre mois après le sacre de Denver, les parquets américains sont de nouveau prêts à vivre au rythme du basket. Voici tout ce qu’il faut savoir pour parier sur la nouvelle saison !

L’été a été long : les prétendants au titre se sont renforcés et la lutte devrait être encore plus acharnée que d’habitude. L’engouement sera également supérieur puisque de nouveaux visages ont rejoint la grande ligue américaine, à commencer par la nouvelle terreur des parquets, le Français Victor Wembanyama. Présenté comme un phénomène depuis des années, le numéro 1 de la draft n’a pas déçu pour ses premières minutes aux Etats-Unis lors de la pré-saison.  Alors, sur quelles franchises faut-il parier cette saison ?

Le soleil se lève à l’Est

Première indication : les deux équipes favorites au titre suprême se trouvent à l’est. Les Boston Celtics (@5,00) de Jayson Tatum et les Milwaukee Bucks (@5,00) de Giannis Antetokounmpo ont les faveurs des bookmakers. Si les deux franchises se sont renforcées cet été, avec les arrivées de Jrue Holiday & Kristaps Porzingis chez les Cs ou encore celle de Damian Lillard dans le Wisconsin, et n’ont donc pas volé ce statut, c’est surtout parce que le chemin vers la finale est moins compliqué dans la Conférence Est que les cotes des 2 équipes sont plus basses.

Car les meilleures équipes de la Ligue se trouvent à l’Ouest : les champions en titre, les Denver Nuggets de Nikola Jokic (@6,00) devront faire face aux Phoenix Suns (@7,50) de Kevin Durant, qui ont accueilli Bradley Beal cet été, ou encore aux Golden State Warriors (@14) de Stephen Curry et du nouveau venu Chris Paul, s’ils veulent conserver leur bien.

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Une lutte féroce

Vous l’aurez compris, la saison s’annonce plus serrée que jamais et le nombre de top teams continue de grandir. Pour pouvoir croire au titre, les franchises devront d’abord se qualifier pour les Playoffs. Pour les meilleures équipes, ce devrait être une formalité. Pour d’autres, il faudra cravacher pour y parvenir. À l’Est, Indiana (@2,00) s’est renforcé en recrutant le récent champion Bruce Brown. Avec des jeunes joueurs en pleine progression comme Tyrese Haliburton, Bennedict Mathurin ou encore Obi Toppin, la formation de Rick Carlisle semble armée pour lutter pour les huit premières places de la Conférence Est.

De l’autre côté, la concurrence sera encore plus élevée : Denver, Phoenix, Golden State, les deux Los Angeles ou encore Memphis et Dallas ne devraient pas laisser beaucoup de places aux autres. Oklahoma City (@1,65), emmené par Shai Gilgeous Alexander semble le mieux armé pour accompagner les autres en post-season. À moins que les San Antonio Spurs de Victor Wembanyama (@10) ne créent la surprise…

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L’important, c’est les 3 points ?

La course au titre de meilleur marqueur sera également au coeur des attentes des suiveurs de la Ligue cette saison. Joel Embiid (@3,50) est le favori à sa propre succession. Le MVP de la saison avait inscrit 33,1 points par match en moyenne, et avait dépassé de peu Luka Doncic (@4,50), auteur de 32,4 points par match. La nouvelle star de la Team USA sera une nouvelle fois l’atout offensif numéro 1 de Philadelphie, en attendant le trade à venir de James Harden. 

Parmi les autres joueurs à suivre on retrouve Shai Gilgeous-Alexander (@4,50), Stephen Curry (@15), ou même, pour les plus chauvins, la grosse cote Victor Wembanyama (@250).

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Comment bien rebondir

Aux Etats-Unis, les rois du rebond sont européens. Le Lituanien Domantas Sabonis (@4,00) est le champion en titre de la catégorie avec 12,3 rebonds par match l’an dernier, et il est évidemment le favori pour conserver son bien cette saison. Le classement 2022-2023 des meilleurs rebondeurs est complété par le Serbe Nikola Jokic (@4,50), le Grec Giannis Antetokounmpo (@7,00) et le Français Rudy Gobert (@7,00).

Qui pourra stopper l’hégémonie européenne chez les intérieurs américains ? Seul Anthony Davis (@6,00) en semble capable. Mais attention, pour être éligible au titre de meilleur rebondeur, comme pour le titre de meilleur scoreur, il faut avoir disputé 70% des rencontres de saison régulière, soit au moins 58 matchs. Pas sûr que Davis, connu pour être souvent blessé, y parvienne.

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