Winamax

[Blog] Le fer aiguise le fer

Par dans GénéralLife Style il y a 21 jours.

Blog Joao Bandeau

Dans la grande histoire du sport, peu de rivalités ont autant fasciné que celle entre Cristiano Ronaldo et Lionel Messi. Le premier a récemment franchi la barre des 900 buts en carrière, ce qui reflète non seulement son talent, mais aussi son insatiable quête d'excellence.

Depuis ses modestes débuts dans les rues de Madère jusqu'à devenir l'un des plus grands athlètes de tous les temps (et l'une des personnes les plus suivies au monde sur les réseaux sociaux avec plus d'un milliard de followers), le parcours de Cristiano Ronaldo est une ode aux sommets que quelqu'un est capable d'atteindre, à force de dévouement et d'implication. Mais il n'y est pas parvenu tout seul.

Ronaldo / Messi

Dès leur première rencontre sur le terrain, il était évident que Ronaldo et Messi n'étaient pas de simples adversaires, mais des catalyseurs pour leurs réussites mutuelles. Chacun n'a eu de cesse de pousser l'autre toujours plus haut, leur permettant de pulvériser record après record. Quand Messi marquait un but sublime, Ronaldo répondait dans la foulée avec un autre chef-d'œuvre bien à lui. Si Messi signait un doublé le samedi, Ronaldo allait chercher le triplé le dimanche. Pendant près de vingt ans, le football a ainsi vécu au rythme des allers-retours magiques entre ces deux génies, qui ont poussé toujours plus loin les frontières du réel.

Ensemble, on va plus haut

Leur rivalité doit donc servir à nous rappeler la valeur de s'entourer de personnes talentueuses. Comme un forgeron aiguise le fer avec le fer, nous nous renforçons en tant qu'individus en affrontant des compétiteurs ultra-performants. Pour tendre vers le succès, nous devons nous tourner vers ceux qui nous inspirent, nous challengent et nous motivent à évoluer.

João Vieira Bracelet

Au début de... Lire la suite

[Blog] Mon sparring-partner

Par dans Tournois Live il y a 1 mois.

Gus Hansen
Mes premiers World Series of Poker en tant que membre du Team Winamax sont derrière moi. Ce n'est rien de le dire : l'expérience fut radicalement différente. Mon volume de tournois joués a considérablement augmenté. En pratique, cela signifie être passé d'un ou deux MTT par an à un incroyable score de six épreuves enchaînées durant le dernier tiers des WSOP. Le résultat ? Mitigé, que ce soit en termes de ressenti et de salaire. Deux ITM, ce n'est absolument pas horrible... mais ce n'est pas du tout optimal non plus. Un min-cash sur le High Roller PLO à 25 000 $, une huitième place sur le 8-Game Mix à 10 000 $ : cela ne suffira pas à payer les factures, puisque mes inscriptions ont coûté 155 000 $ au total, pour seulement 91 000 $ récupérés au guichet des payouts.

Des améliorations sont donc à l'ordre du jour, afin de pouvoir régulièrement escalader les hautes sphères de la bonne société du poker, là où se situent les bracelets.

Mais à quels ajustements vais-je devoir procéder pour gagner plus souvent des tournois ? Ou, pour faire plus simple, pour gagner un tournoi ?

Gus Hansen
Une solution simple serait, bien sûr, de jouer beaucoup plus de tournois... il est certain que cela augmenterait mes chances d'en gagner un. Mais ce n'est pas la voie que je souhaite emprunter.

Une meilleure préparation en dehors des tables, et de meilleures décisions prises à table : voilà ce qui est nécessaire pour perfer dans le monde du poker. J'ai du pain sur la planche.

Il faut que j'y mette du temps et de l'effort, il faut que j'analyse et étudie, que je retrouve ma concentration, ma force mentale et ma discipline. Grosso modo, tout ça se résume en deux mots : travailler dur ! Cela ne dépend que de moi, et je crois sincèrement être sur le bon... Lire la suite

[Blog] Le Grand Saut

Par dans Life Style il y a 5 mois.

joao vieira

Cela fait maintenant plus de treize ans que je joue au poker à plein temps. La route a été longue et difficile, mais je suis fier du chemin parcouru et de toute l'expérience que j'ai pu engranger durant toutes ces années. On pourrait facilement se dire que le travail est terminé, que j'ai fait ce que j'avais à faire dans ce milieu et qu'il est temps de tirer sa révérence, mais ce serait se tromper. D'autant plus car j'ai l'impression d'avoir pris suffisamment d'élan pour enfin faire ce grand saut qui pourrait m'emmener encore plus loin.

Si tous ces moments n'ont pas été simples, ils m'ont aidé à me construire et à être là où je suis aujourd'hui. L'adversité m'a permis de m'affûter. J'ai beaucoup appris de mes victoires, mais aussi de mes défaites. Elles m'ont permis d'en tirer de nombreuses leçons. Aujourd'hui, treize ans plus tard, je sens que je me rapproche de plus en plus de mon meilleur niveau. Je le sens au plus profond de mon corps. Je me rapproche de ce moment de plénitude.

joao vieira
J'ai maintenant 34 ans. Le feu brûle toujours aussi fort, mais je suis devenu un homme mûr et adulte. J'ai l'impression d'être à ce stade où l'énergie rencontre la sagesse, et où l'irrévérence rencontre la connaissance. Je suis prêt à exploser, prendre le contrôle de tout. Mais, pas demain. Aujourd'hui !

Je le sens à cent pour cent. Chaque fois que je joue. Chaque fois que je m'assois à une table. Je sais que je suis prêt et que j’ai les compétences. Et c'est ce qui est en train de se produire. Une chose est sûre, le meilleur reste à venir.

Préparez-vous à l'explosion : fire in the... Lire la suite

[Blog] Mon plan de vol pour 2024

Par dans GénéralTournois LiveTournois OnlineLife Style il y a 8 mois.

crea joao vieira

Salut à tous !

Je vous écris actuellement ce blog à 30 000 mètres d'altitude, bien installé dans l'avion pour rejoindre Londres.

Après une courte pause à Funchal où j'ai pu profiter de mes proches, je reprends la route pour entamer cette nouvelle année de poker sur les chapeaux de roues. Pour ce faire, j'ai opté pour un programme similaire à celui de l'an passé. Celui-ci s'organise essentiellement autour de quatre évènements majeurs : les World Series of Poker, les Triton Series, les festivals EPT et les "Series" online.

Pour le moment, on peut dire que mon début d'année a bien commencé, grâce aux Winamax Series : j'y ai donné le meilleur de moi-même pour en ressortir gagnant de 12 000 €. Mais l'année est loin d'être terminée et le programme à venir reste très chargé !

Un agenda bouclé

Selon mes prédictions, j'ai prévu de prendre part à 125 jours de poker live, répartis sur neuf événements différents. Online, je me suis fixé l'objectif de lancer 150 sessions, soit un total de 275 jours de grind. Entre-temps, je consacrerai une quinzaine de jours aux évènements live et séminaires organisés par Winamax. Pour me rendre à l'ensemble de ces festivals poker, je vais devoir voyager environ 23 jours et prendre ainsi pas moins de 50 avions d'ici la fin de l'année.

joao vieira

Pour performer sur la durée, je compte bien travailler mon jeu pendant un mois et tout faire pour me maintenir physiquement en forme grâce aux quatre séances de sport prévues chaque semaine dans mon agenda. Beaucoup d'intensité, mais également un peu de repos, sans quoi je ne pourrai rester performant. Je vais donc m'octroyer 18 jours off pour souffler entre ces importantes échéances. J'en profiterai notamment pour m'avancer et atteindre mon... Lire la suite

[Blog] Une vie de chien

Par dans Life Style il y a plus d'un an.

crea joao vieira
Au cours des dernières semaines, le thème de la santé mentale a une nouvelle fois été au cœur des discussions dans le monde du poker. Soyons honnêtes et transparents : tous les pros traversent ou ont déjà traversé des périodes difficiles sur le plan mental. Et si ces phases existent également dans d'autres activités, dans le monde du poker, personne n'y échappe. Pour certains, cela se limitera à quelques mauvaises périodes plutôt brèves. Pour d'autres, on parlera carrément d'un diagnostic de dépression, et même parfois de comportements auto-destructeurs. La vie de joueur de poker n'est pas simple.

L'impact du poker sur la santé mentale

JOAO VIEIRA BLOG
Au sein de notre communauté, on met constamment en avant ce genre de profils : des joueurs qui réussissent ; des joueurs qui ont envie de vous faire croire qu'ils réussissent ; et des joueurs qui postent à longueur de journée des phrases toutes faites pour se motiver, en mode "méthode Coué". La vérité, c'est que nous galérons tous pour y arriver. On passe des heures à étudier, à jouer, souvent seuls à la maison. Tout cela dans un environnement ultra-compétitif, sous haute pression, où le doute peut nous envahir au moindre début de bad run. Tous les ingrédients pour un véritable cocktail Molotov mental.

On ne peut pas y échapper. C'est la vie qu'on a choisie. La compétition au plus haut niveau est difficile, et le sera pour toujours. Ce n'est pas fait pour tout le monde. Mais nous avons des moyens pour lutter, et pour nous rendre la tâche un peu plus saine, légère et plus agréable au niveau mental.

Entourez-vous

joao vieira
En réalité, il faudrait que j'écrive deux autres articles sur la façon dont je gère ce type de situation et sur ce qui m'a permis de trouver sur la durée un équilibre que... Lire la suite

[Blog] Tout le monde s'en fout, travaillez dur

Par dans Tournois LiveTournois Online il y a plus d'un an.

Joao Vieira Blog

Le poker est un jeu très intéressant pour de nombreuses raisons. Je pense que le principal facteur qui le rend vraiment spécial et attrayant, c'est que le meilleur joueur ne gagne pas à tous les coups. Il peut même perdre énormément. Cela fait partie du jeu et de l'attrait de ce jeu. Au poker, vous avez une chance de gagner contre le meilleur joueur du monde. Ce n'est pas le cas au tennis, au basket ou au football. Vous ne pourrez jamais battre Novak Djokovic ou Lebron James. Jamais.

Cela crée plusieurs opportunités intéressantes pour les pleurnicheurs. Le poker est le paradis des pleureuses. Si vous vous êtes fait écraser 6-2 6-2 6-0, il n'y a pas beaucoup d'échappatoire. Oui, vous pouvez toujours dire que vous avez joué blessé, mais ça ne marchera pas plus d'une fois ou deux. Vous avez été battu. L'autre gars est meilleur. Vous léchez vos blessures, vous y retournez, et travaillez plus dur, mieux et plus intelligemment. Et vous espérez avoir la chance d'affronter à nouveau cet adversaire et de faire mieux. La démarche est la même dans la plupart des sports et autres activités compétitives. Mais pas au poker.

Étant donné qu'il s'agit d'un jeu basé sur la chance à court terme, cela ouvre la porte à toutes les excuses du monde. Et les joueurs de poker adorent les excuses ! C'est tellement facile de mettre tout ce qui est mauvais sur le compte de la malchance, et tout ce qui est bon sur le compte de son propre talent. Le monde du poker vit dans cette ambiance acceptable de manque de responsabilité. Les médias font du buzz avec des gagnants à court terme qui jubilent. Et cela nourrit les besoins de tout le monde. Le besoin pour le public d'admirer un nouveau héros - qui peut être un shark reconnu ou au... Lire la suite

[Blog] When a fire starts to burn

Par dans GénéralLife Style il y a plus de 2 ans.

Blog João Vieira Facebook

Si, à la lecture du titre de ce blog, vous ne pouvez vous empêcher de taper du pied et de chanter, alors nous sommes sur la même longueur d’ondes. When a fire starts to burn, right, and it starts to spread… Super ce titre de Disclosure, non ? Enfin, quand on aime la deep house.

Mais revenons-en à notre blog : il est temps de parler de motivation. Ça, c’est un feu rare et puissant. Et quand il commence à brûler, oui, vous avez deviné, il commence à se répandre. Il vous donne l’énergie nécessaire pour faire plus, pour accomplir de nouvelles choses, pour devenir une meilleure personne. Et rien n’attise mieux un feu qu’un séminaire du Team Winamax !

Le feu intérieur

João Vieira Padel

De retour après quatre jours à Biarritz avec l’équipe, je me sens incroyablement bien. C’était cool de me défouler sur certains de mes amis pendant la séance de kickboxing ; c’était même sympa de me faire martyriser par Leo et Pierre le temps d’une sortie course le long de la plage. Mais l’un des meilleurs moments fut incontestablement la session de padel. Non seulement pour ce sport en lui-même, mais aussi parce que nous y avons rencontré tout à fait par hasard une ancienne grande joueuse de tennis, vainqueure de Grand Chelem, avec qui j’ai eu la chance de pouvoir échanger quelques mots. Et je peux vous le dire : le feu de la championne qui sommeille en elle est tellement fort que vous en ressentez presque la chaleur.

J’ai toujours fait de mon mieux pour m’entourer de personnes qui portent en eux de puissantes ondes positives, tout en essayant moi-même d’être cette personne pour mon entourage. Avec le Team Winamax, je pense avoir trouvé ce groupe, et je lui en suis reconnaissant. Je n’ai qu’une hâte : repartir sur les plus gros événements de... Lire la suite

[Blog] Toujours plus haut

Par dans Général il y a plus de 2 ans.

João Vieira Blog Facebook

Nous y revoilà. Notre planète a accompli un nouveau tour autour du Soleil. Nous voici donc à ce moment de l'année où l'on met en place ses objectifs pour les douze mois à venir, où on arrête de fumer et où on (re)prend cet abonnement à la salle de sport qui ne passera probablement pas le mois de mars. Mais avant de se projeter sur 2022, il est important de jeter un coup d'œil dans le rétro, sur 2021. De mon côté, j'ai connu une année à deux vitesses : six premiers mois extraordinaires suivis de six autres beaucoup plus compliqués. Rentrons maintenant dans le détail.

Mon année a commencé sur les tables online, et même sur les chapeaux de roue ! En deux jours, j'ai signé les deux plus grosses perfs de ma carrière, ajouté quelques gros résultats à mon Top 10, atteint la première place de la Online All-Time Money List et fait la couverture du magazine Card Player. J'étais on fire et en chemin vers la plus belle année de ma carrière. Vraiment des mois fabuleux.

Retour de bâton

Et puis le cours des événements a commencé à ralentir. Je n'ai presque pas joué en juin et j'ai bouclé les WSOP-Online avec deux finales au compteur. Entre août et septembre, j'ai décroché une petite victoire sur les différentes Series en ligne, mais j'ai terminé perdant pour la première fois depuis plusieurs années. Il faut dire que j'ai contracté le Covid au même moment, juste avant les World Series of Poker, en dur cette fois, à Las Vegas. Cela a menacé ma participation, mais j'ai réussi à m'en remettre à temps.

Durant ces WSOP, je me suis battu et j'ai énormément joué, pour un bilan de quinze places payées et quatre finales, mais je n'ai jamais réussi à retrouver ma concentration et mon niveau de jeu des six premiers mois. Les WSOP se sont... Lire la suite

[Blog] Pour l'amour du jeu

Par dans Life Style il y a plus de 2 ans.

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Pour comprendre cette histoire, il faut revenir quelques décennies en arrière. Nous sommes en 2001 - disons à un an près. Le lieu : Funchal, sur l'île de Madère, plus précisément dans la salle de basket du CAB Madeira.

À l'époque, je quittais l'école autour de 13 heures. Je me précipitais alors à la maison pour manger quelque chose en vitesse et je filais à la salle, où j'arrivais vers 14h30. L'entraînement commençait à 18h30 et parfois aucun joueur n'était là avant 17h30. Je passais dans les haut-parleurs du gymnase les CDs préférés que j'avais piratés et je jouais au basket pendant des heures. Seul. Pas de supporters, pas d'encouragements, pas d'argent, pas d'adversaires. Je jouais, tout simplement. Pour m'entraîner. Apprendre. Rêver. Sans nul doute des moments parmis les meilleurs de ma vie.

J'ai enchaîné sur une bonne carrière en jeunes : j'ai été appelé pour m'entraîner avec l'équipe 1 à 15 ans et j'ai fait quelques années en tant que pro, même si j'ai pas mal ciré le banc. Nous avons gagné de nombreux titres régionaux, quelques-uns au niveau national, et j'ai remporté une poignée de distinctions individuelles. Finalement, j'ai fait ma place au sein de l'équipe pro, et j'ai joué contre Porto et Benfica devant les caméras de la télévision nationale. Le basket est encore l'amour de ma vie et, quand je jette un regard en arrière sur ces seize années à jouer, mes meilleurs souvenirs restent ces moments passés à jouer seul dans ce gymnase. Pas les titres, pas les gros matchs, mais ces moments de jeu, face à moi-même. Le temps s'arrêtait entre chaque rebond du ballon sur le parquet et ce sentiment de plénitude que je ressentais outrepassait tout ce qui pouvait se passer dehors. Cette sensation apaisante et incomparable... Lire la suite

[Blog] Poker: it's coming home, too !

Par dans GénéralTournois Live il y a plus de 3 ans.

Joao Vieira : poker, it's coming home, too
Au moment où je commence à rédiger ces lignes, le Portugal est éliminé de l’Euro depuis exactement 8 jours, 19 heures et 32 minutes. Je suis encore endeuillé. Et le coach Stéphane m’a demandé d’écrire là-dessus, sur le processus de deuil. Alors allons-y.

Les experts l’affirment : faire son deuil exige de passer par cinq étapes successives. Déni. Colère. Marchandage. Dépression. Et enfin : acceptation. Disons-le tout net : je suis encore solidement ancré dans la phase “Colère”.

De toute façon, je n’ai jamais vraiment prêté attention à ce que disent les psys. Là tout de suite, le projet est plutôt de passer par mes propres étapes du deuil, cuisinées à ma façon. Colère. Encore un peu plus de colère. Travail. Travail (acharné). Et enfin : bracelet.

Dans ma tête, le Portugal reste Champion d’Europe. Bon, c’est vrai que cela ne sera peut-être bientôt plus le cas. Mais on ne sait jamais. Qui sait, peut-être que le tournoi va être annulé à la dernière minute ? On a vu des trucs plus dingues se produire. Bon, là j’imagine que je suis en train de faire ma transition vers la phase “Marchandage”... (Note de la rédaction : on imagine que depuis l’écriture de ce blog il y a huit jours, tu as dû entendre quelques cris de joie en provenance d’un de tes coéquipiers, un certain Italien à moustache. Navré, João.)

Peut-être que nous avons perdu le Championnat, mais nous n’avons pas perdu l’état d’esprit du Champion. Le Portugal est plus que jamais en quête d’or cette année. Les World Series of Poker arrivent. Et je connais un mec, il est complètement d’attaque.

Full ring, short-handed, heads-up. Deux cartes, quatre cartes, cinq cartes, voire carrément sept cartes en main. Des jeux où l’on voit des flops, des jeux où l’on tire... Lire la suite