[Blog] PLO : la quatrième dimension
Si je me rappelle tout ça, c’est pour évoquer le potentiel, à mon avis immense, des autres variantes que notre cher No-Limit Hold’em. Non seulement parce que, sur les tournois Mixed Games, les fields sont beaucoup plus petits, ce qui augmente considérablement les chances de décrocher un bracelet. Mais aussi parce que malgré la présence de réguliers compétents, on retrouve aussi des joueurs old-school qui ne s’adaptent pas forcément très bien aux nouvelles tendances. Et je ne parle même pas du fait que, quand bien même les règles du jeu changent, cela reste un tournoi : comme en No-Limit Hold’em, il faut jongler avec les dynamiques, savoir changer de vitesse au bon moment, savoir quand mettre la pression ou non, en fonction de son tapis et de celui de ses adversaires. Mais, après ce fameux été 2012, j’ai perdu la motivation et la discipline pour passer des heures à jouer à des “jeux chelous” : petit à petit, le NLHE a repris sa place de numéro un.
Est-ce à dire que je vais faire mon grand retour sur les tables de Mixed Games. Pas tout à fait ! Pas toutes, en tout cas.