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[Blog] Betting : mes trois plus grands frissons

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FBK Blog Pierre
[Important : pour vos paris sportifs, ne jouez que ce que vous pouvez vous permettre de perdre. Si vous avez besoin d'aide pour mettre nos dispositifs de prévention en place, n'hésitez pas à contacter notre service dédié à l'adresse protection@winamax.fr. Les bonnes pratiques à adopter pour parier sont listées dans cet article]

Définissez vos limites de jeu

Je ne m'en suis jamais caché : j'adore vivre le grand frisson, l'adrénaline avec un grand A. Sentir mon cœur s'emballer à chaque action. J'ai donc décidé de vous livrer dans ce blog trois moments forts de ma vie de parieur, vécus le temps d'un été. Accrochez-vous... Ça va salver !

La Biélorussie, hype de la pandémie

Nous sommes le 2 août 2020. La pandémie mondiale a interrompu toutes les compétitions de football à l'international. Toutes ? Non. Un petit championnat résiste encore et toujours à l'envahisseur : il s'agit de l'incroyable championnat biélorusse. Je me suis pris de passion pour cette compétition, vibrant régulièrement en regardant le BATE Borisov, le Dynamo Minsk ou encore le Torpedo Belaz. Laissez-moi vous dire que j'ai maintes et maintes fois pété un boulon devant le niveau effarant des joueurs : moi, j'ai été élevé au FC Nantes de Coco Suaudeau, avant de continuer avec le grand Barça, et depuis peu le Manchester City de Guardiola. Mais ce 2 août allait finalement tout changer...

BelazJe recois un message d'un ami sur Twitter : "Mise sur le Torpedo Belaz à 4 contre 1, contre les ogres du BATE Borisov. Je crois qu'ils ont une bonne carte à jouer cette aprèm, et la cote est trop haute !" Ni une ni deux, et sachant mon ami expert en la matière, je mise 10 000 € sur le Torpedo. Le match a lieu en début d'aprem, il fait grand soleil, et je me prépare un petit apéro avec des potes en regardant la partie. Misère de misère : à peine le temps de déboucher la bouteille de rosé que le BATE mène 2 à 0 en dominant la recontre de la tête et des épaules. Je ferme mon téléphone, dépité. Mais qui parie sur une équipe qui s'appelle le Torpedo Belaz, sérieusement ?

Arrivé au digestif, et avant d'aller faire la sieste, je jette quand même un œil au score : 2-2 ! Ni une ni deux, je me reconnecte sur Winamax et relance le match. Corner pour le Torpedo, tête, buuuut ! Trois buts en 15 minutes au retour des vestiaires. Le BATE est sonné, ils ne reviendront plus. Je reste éberlué devant ce match de fou : je viens de gagner 30 000 € !

Milan-San Remo, au finish

Six jours plus tard, mon téléphone vibre encore : "Il faut que tu sacoches sur Wout van Aert coté à 9 sur Milan-San Remo, c'est un truc de fou cette cote." Rebelote donc, pour 10 000 € encore. L'été se passe super bien, et de toute facon si je perds, ce n'est qu'une partie des gains du Torpedo. Alors après tout, pourquoi se priver ? La course se lance, je la regarde avec les frères Claude et Delphine dans le salon. Mon poulain est dans tous les bons coups. Mon cœur commence à battre la chamade : alors que nous ne sommes plus qu'à 10 kilomètres de l'arrivée, il est en très bonne posture dans un groupe de trois coureurs. Fait de course incroyable, Julian Alaphilippe crève. Mais il est fort, et revient dans le groupe de tête. C'est le moment que choisit Wout pour attaquer et tenter de se faire la belle.

San RemoMon Dieu, Alaphilippe le marque à la culotte et les deux coureurs creusent l'écart sur leurs concurrents. Tout se jouera entre ces deux-là. Flamme rouge, les deux coureurs s'observent... Wout van Aert& lance le sprint, Alaphilippe dans sa roue. Il ne reste plus que 300 mètres, puis 200, 100, mètres... Wout est en passe de perdre la course et se fait remonter par son adversaire à moins de 100 mètres de l'arrivée. On saute de partout comme des dingues avec Fabien Mimi et Florent Claude. Le commentateur hurle : "Wout van Aert s'impose, mais attendons quand même la photo finish." Trente secondes qui me paraissent interminables s'écoulent et le verdict tombe : Wout a gagné pour... un demi-centimètre. Mon téléphone n'arrête pas de vibrer, mes réseaux sociaux sont en feu. Je savoure le moment et je regarde mon téléphone : j'ai reçu la notification tant attendue. "Félicitations, votre pari sur Milan-San Remo vous rapporte 90 000 € !"

100 000 balles pour vibrer

C'est le moment d'enclencher le troisième step de la montante : réaliser le rêve ultime de tout parieur, en misant 100 000 € sur un seul match. Le grand frisson, le saut dans l'inconnu. Je choisis une cote safe : le Bayern contre Lyon, en demi-finale de Ligue des Champions, à 1,22. L'armada munichoise ne fera selon moi qu'une bouchée de l'OL : la différence d'effectifs et d'expérience sera trop importante. Tilt, la partie va se dérouler pendant que je serai en déplacement, je vais donc devoir regarder le match le plus important de ma vie... dans le train. LE match débute. Je suis déjà en tilt complet : le Bayern balbultie complétement son football, Lyon domine totalement le match. Pire que tout, je capte hyper mal dans le train et je suis obligé de regarder le match avec une famille assise à côté de moi dans le carré du TGV. Là, Memphis Depay part seul au but et s'en va défier Manuel Neuer en un contre un. Le temps s'arrête... Heureusement, le Hollandais, fidèle à lui-même, envoie une bonne merguez dans le petit filet. Je respire un peu... Mais ce n'est pas possible, encore une action ultra-chaude pour Lyon : Toko Ekambi vendange un but tout fait. Je suis blanc comme un linge.

GnabryMais le très haut niveau ne pardonne pas. Serge Gnabry décoche un missile du gauche, et Lopes est battu. Quelques minutes plus tard, l'Allemand double la mise au second poteau après un cafouillage dans la surface. Il n'a plus qu'à catapulter le ballon au fond des filets, et c'en est fini des espoirs lyonnais. Je vois avec soulagement la cote des Lyonnais et du match nul monter en flèche. Je check le petit garçon à côté de moi : lui aussi était pour le Bayern ! Mon téléphone commence à vibrer de nouveau, les messages de félicitations affluent. Lewandowski triple la mise dans les arrêts de jeu et je pousse un soupir de soulagement. Non seulement je n'ai pas perdu mes 100 000 €, mais j'en ai gagné 22 000 de plus, dont la moitié seront versés à des associations caritatives. Je sais à ce moment que je ne remiserai plus jamais des montants aussi énormes : j'avais réalisé ce que je voulais réaliser dans le monde des paris sportifs.

Pour clore ce blog un peu fou, je voudrais dire que j'ai parfois senti durant cet été que le betting prenait une place trop importante dans ma vie. Il m'arrivait de passer des journées entières à regarder des matchs au lieu de passer du temps avec ceux que j'aime. Surtout, au-delà de ces trois victoires, j'ai aussi perdu des sommes folles et j'avais l'impression de ne plus être en phase avec la réalité. J'ai donc décidé de recadrer mes pratiques en betting et redéfini mes limites, pour ne miser que des petites sommes ne pouvant absolument pas me mettre en danger, parfois avec grand succès. C'est important : ne jouez jamais au-dessus de vos moyens, seulement des sommes que vous pouvez vous permettre de perdre. Me concernant, j'ai même gagné 28 000 € sur un combiné de tennis en misant... 10 € !

Mais je ne vous dévoile pas encore tous mes secrets. Dans un prochain blog, je vous révélerai que j'ai par deux fois failli raser 150 000 € sur Winamax en misant 1 000 et 500 € seulement. Il s'en est fallu d'un cheveu, vous n'avez pas idée...

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LeVietF0u

L'enfant terrible du Team Winamax a remporté les plus gros tournois W et fait souvent parler la poudre en live. Un talent ravageur, à la table comme sur les réseaux sociaux.

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